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nombre de compte rendu : 18
| N° | Date | Lieu | durée | bilan de la sortie | Participants |
|---|---|---|---|---|---|
| 1 | 17/09/2005 | Grotte des Blanquets | 3h | Visite et initiation familiale. 2 chauves-souris à l'entrée et un nain de jardin dans la salle du fond. Le gours du fond était plein. | Karine Calmels, Leïla Calmels, Lison Calmels, Laurent Calmels, Nathan Laipe, Gabriel Lemaitre, Lounis Lemaitre, Pierre Lemaitre. |
| 2 | 14/10/2005 | Aven de Pouzzarone | 4 scéances | Aven de Pouzzarone (commune de Montbrun, causse Méjean. 48) Reprise de la désobstruction dans le méandre terminal. 1 ère séance : Equipement de la cavité puis nous décidons de faire un double tir de chaque côté du méandre. 2 ème séance : Nettoyage du premier tir, un peu pénible vue l’étroitesse du méandre, puis second tir au cordeau. 3 ème séance : Nettoyage du second tir un peu dans les gaz puis exploration du puits parallèle. La trémie est très instable, les blocs nous tombent dessus nous laissons tomber. 4 ème séance : (14/10 /05) Nous jetons un œil derrière un coude du méandre à l’aide d’une perche télescopique et d’un appareil photo numérique. Le méandre semble rester étroit, nous décidons d’abandonner. La présence du courant d’air n’est vraiment pas évidente, la seule chose motivante est la résonance du méandre. Ces trois séances ont été pour nous l’occasion de nous organiser pour lancer l’activité de désobstruction à l’explosif au sein du club. Conclusion : nous souhaiterions faire un kit de désob avec ce qu’il faut pour du travail à la main puis à l’explosif. Olivier (le CPT) du club est en cours de démarches pour que l’on puisse de procurer les explosifs. | Nicolas Albouy, Philippe Blanchet, Olivier Blanc. |
| 3 | 23/10/2005 | Grotte de Castelbouc N°4 | 5h | Visite et initiation. Les grandes salles jusqu'au siphon Chouquet. | Stéphane Amouroux, Laurent Calmels, Jacques lauret, Pierre Lemaitre, Nacera Méchaoui, Nicolas jaunis. |
| 4 | 26/11/2005 | Mur d'escalade de la Vernède | 3h30 | Initiation à la progression sur corde. | Stéphane Amouroux, Laurent Calmels, jacques lauret, Pierre Lemaître. |
| 5 | 10/12/2005 | Aven de cabrunas | 5h | Visite et approfondissement des techinques de progression sur corde. Descente en bas du P.45 et visite du boyau désobstrué par le spéléo-club de la Lozère (présence d'un courant d'air). | Stéphane Amouroux, Thierry Bertrand, Laurent Calmels, Guilhem Diverny, Jacques Lauret, Pierre Lemaitre. |
| 6 | 21/12/2005 | Grotte de prades | 2h30 | Visite et initiation. Visite jusqu'au siphon et sortie par l'entrée inférieure. | Karine Calmels, Laurent Calmels, Jacques Lauret. |
| 7 | 15/01/2006 | Aven du Lavanhou n°1 | 14h | R.V à 10 heure devant la cavité. Nous entrons dans le trou à 11 heures, le temps est couvert, peut-être même neigeux ? Guillaume, Olive et moi partons devant pendant que Laurent accompagne Roger. Nous posons les kits à –200 sur le palier entre le P19 et la fosse (qui est le départ du réseau des escalades). Puis nous descendons voir le siphon qui n’en est plus un, après de nombreuses séances de travail. Nous sortons les tuyaux des gravats et les remontons, ainsi que les deux pompes, sur le palier entre le P19 et la fosse. Laurent et Roger nous rejoignent, il est 13 heures, nous mangeons un morceau. Roger décide de remonter, après avoir vu le S1 à –220 m. Laurent et Olive remontent le réseau des escalades avec pour objectif de continuer celle du puit des perles. Guillaume et moi ré équipons les escalades en fixe jusqu’au puit des perles.(gougeons inox avec anneaux inox, corde de 9 mn sans mousquetons, équipement sécurisé) A 18 heures et quelque je pers ma montre dans un méandre impénétrable (j’ai pas eu le temps de voir les minutes quand elle est tombée de ma poche), nous n’avons plus d’heure. Nous finissons d’équiper l’escalade de la goulotte et nous retrouvons Laurent et Olive. « -alors cette escalade, ça a donné ? - on a pas fait d’escalade les accus du perfo sont à plats … » No comment. Heureusement ils ont trouvé un nouveau regard qui débouche au sommet du puit des perles. Ici s’arrête donc le réseau des escalades (il reste toutefois une ou deux lucarnes non visitées car non équipées dans le puit des perles) Nous redescendons tous les quatre au palier. Petit casse-croûte et nous remontons avec les deux pompes et les deux perfos. Nous sortons du trou, il neige, tient donc ça serait rigolo si …non allez. Il est 1 heure du matin. Nous nous changeons vite fait puis sortons les voitures grâce à quelques coups de pelle. Au bout de 2 km, terminus, tout le monde descend nous sommes bel et bien planté dans une congère… Mais non quelques coups de pelle et ça repart …non ? alors les chaînes et ça repart …non plus ? ha mince alors. Il est 2 heures du mat et nos deux voitures sont coincé juste avant la baraque de Rocanti. A quatre nous faisons riper le C15 de Guillaume sur le bord de la route pour laisser le passage au chasse-neige au petit matin, puis nous partons à pied jusqu’à Florac. Ha Lavanhou, quand tu nous tiens ! 5 heures du matin, enfin dans mon lit, sympathique cette petite rando sur le Méjean au clair de lune, un peu fatiguant mais sympat … Nicolas. | Laurent Chalvet Prudhom, Guillaume Coerchon, Olivier Blanc, Nicolas Albouy, Roger ? |
| 8 | 21/01/2006 | Aven-grotte de Castelbouc | 3h30 | Visite et initiation à la progression sur corde. Les vires de la cavité étaient équipées. Nous avons équipé le P.10 et le P.20 en double pour avoir les nouveaux à l'oeil. | Stéphane Amouroux, Laurent Calmels, Pierre De Vlieger, Lounis Lemaitre, Pierre Lemaitre, Nacéra Méchaoui. |
| 9 | 29/01/2006 | Gorges du Tarn | après-midi | Nous profitons de cet après-midi de grosse crue pour faire le tour des résurgences pérennes et temporaires. Partis de Florac, nous passons à Molines où l 'exsurgence de Paros déborde par l'entrée et par un important griffon rive droite (total env. 1 m3/s). Ensuite nous repérons plusieurs exfiltrations en bordure de la route, bon débit à Pelatan. A Montbrun, le débit de la source est impressionnant (>1 m3/s), juste au-dessous de la désob. L'exsurgence de Bissoudo est également en crue, à tel point que nous noyons la voiture en essayant de passer le ruisseau ! | Laurent Chalvet, Catherine Perret |
| 10 | 29/01/2006 | Grotte de la briquette | 2h30 | Visite et initiation. Rien de tel qu'une sortie spéléo pour un aniversaire (Lounis 9 ans). Nous nous sommes retrouvés 15 enfants et 5 adultes pour visiter la grotte de la briquette. La neige qui était tombé en grande quantité fondait. A l'intérieur de la grotte très peu de percolation. Par contre "la source" coulait bien. La température au niveau du passage bas à 80 m de l'entrée était de 10.6°C pour une température extérieur de 6°C. Les enfants se sont régalés (les parent aussi). | Karine Calmels, Leïla Calmels, Lison Calmels, Laurent Calmels, Gabriel Lemaitre, Lounis Lemaitre, Nathalie Lemaitre, Pierre Lemaitre, Pierre-étienne Guilhem, Clément Léris, Louis Bonnet, Adrien Desmond, Rémi Chabert, Bastien Zimerman, Arnaud Chaldoreille, Sami Bouainane, Tom Portal, Pierrick Martin, Lison Martin, William Martin. |
| 11 | 9/02/2006 | aven de Vallongue | 6h environ | Nico et Olivier équipent le trou et font une escalade au fond (déjà faite, car ils trouvent un spit). Il y en a d'autres, mais il faut une corde (au moins pour redescendre). Cet aven remontant correspond probablement à l'aplomb de la doline d'entrée, car on bute sur une trémie contenant de gros os. Catherine les rejoint au moment où ils commencent la topo (du point bas vers la sortie), ça tombe bien, elle fera le dessin ! Nous levons une petite trentaine de points et sommes contents du travail accompli. Nous laissons le trou équipé -sauf le puits d'entrée- en vue d'une prochaine sortie (escalades et topo du réseau remontant). | Nicolas Albouy, Olivier Blanc et Catherine Perret |
| 12 | 11/02/2006 | Aven du St Etienne du Valdonnez | 8h | Le but de l'exploration était de pouvoir visiter la quasi totalité de la cavité. Nous sommes entrés à 10h30 et ressortis à 18h30 soit 8h d'exploration avec neuf participants. A l'entrée un violent courant d'air glacé accompagnait notre descente. En bas du P7, la glace était présente ce qui rendait l'attente en haut départ du P10 des plus frigorifiante. Le calcaire des puits est incrusté de fossiles. En bas des puits, nous avons repéré le départ du réseau Boulot particulièrement étroit. Thierry et Gilles s'y sont engagés l'un derrière l'autre et seul thierry a pu y faire demi-tour. Gilles à donc rebroussé chemin en marche arrière... Visite du réseau aval: trace de crue et de circulation récente. Au niveau de la salle N°3 on retrouve une circulation d'eau que l'on perd assez rapidement. On retrouve l'actif après la salle Gaillard. Nous avons remonté l'amont pour atteindre la salle N°5. Dans cette salle, Thierry, assuré par Gilles, a remonté une cheminée non marquée sur la topo sur une quinzaine de mètres. Elle donne sur quelques mètres de galerie horizontale colmatée des deux côtés. Toujours dans la salle N°5 repérage du squelette de renard avec quelques photos à l'appui. On repart pour visiter l'amont mais seul Thierry (toujours lui...) réussit à passer le laminoir qui permet d'accéder à la partie extrême de l'amont. Il semblerait que le passage se soit un peu colmaté et qu'il faudrait à nouveau gratter le passage avec un rateau. De retour à la salle Gaillard, nous avons reconnu la partie active de celle-ci. Cette partie est extrêmement chaotique et le départ du réseau Odile est assez difficile à localiser quand on ne connait pas. Nous avons remonté cet amont juqu'à la cascade de 1 mètre. Le ruisseau avait un bon débit. Pour ressortir de l'aven depuis la salle Gaillard il nous a fallu 1h15 à 7 (Pierre et Gilles sont partis avant les autres). L'aven de St Etienne est une très belle cavité. Les premiers puits sont assez austères mais le reste de la cavité est beaucoup plus accueillante. Le parcourt est très varié : puits, conduites forcées, méandres, larges galeries, grande salle ... Quand on veut tout voir il faut une bonne journée d'exploration qui peut devenir physique si l'on s'engage dans les boyaux étroits. Aven à faire et à refaire. | Stéphane Amouroux, Thierry Bertrand, Laurent Calmels, Pierre De Vlieger, Guilhem Diverny, Gilles Dufor, Jacques Lauret, Pierre Lemaitre, Nacéra Méchaoui. |
| 13 | 18/02/06 | Grotte de la Piboulède | 6h | Début de la retopo de cette jolie cavité (levé : 104 m). Nez au vent (on cherche où part le courant d'air), nous parcourons plusieurs petites galeries supérieures anastomosées, assez complexes. Le zéf part en bonne partie dans l'étroiture "des barres métalliques". Affaire à suivre. | Gaëlle Nore, Gilles Dufor, Philippe Blanchet, Catherine Perret |
| 14 | 27/02/2006 | Aven de Vallongue | Escalades du fond : on laisse équipé pour la topo. Escalade au sommet du P30 : Nico trouve une inscription SCC et s'arrête sur un rétrécissement occupé par un rhinolophe. On reviendra lorsque le temps sera plus clément, pour ne pas déranger cette chère petite bête. | Nico Albouy, Olivier Blanc, Gilles Dufor | |
| 15 | 02/03/2006 | Aven de Pécos-Lèbres | Visite de la cavité jusqu'au fond. | Olivier Blanc, Gilles Dufor, Aline de Maillard | |
| 16 | 11/03/2006 | Grotte de la caze N°? | 1h30 | 11h00 les Floraquois et les mendois se retouvent comme convenu au château de la Caze. Distribution des combinaisons et équipement des petits spéléo. L'encadrement devrait être suffissant 6 adultes pour 13 enfants à partir de 4 ans. 12h00 repas dans la grotte Mermoz et ces peintures rupestres réalisées par un artiste du XXe siecle. Après le repas l'équipe est sindée en deux groupes. Les petits iront faire la grotte de la Caze N°? située au dessus de la grotte Mermoz et les plus grands la N°1. C'est vers 13h00 que les petits bouts conmmencent la rude montée vers leur futur terrain de jeux. La grotte de la Caze N°? permet une bonne sensibilisation au milieu souterrain. Les dimensions ne sont jamais grandes et les multiples divervicules permettent l'exploration tout en étant toujours proche de la sortie. La fonte des neiges avait rempli les gours à la plus grandes joies des petits. Le clou de la sortie fut le passage dans le laminoir par lequel nous avons rejoind une salle basse au plafond bien blanc. Nous avons pu montrer aux enfants quelques petits rhinolophes qui hibernaient et ainsi les sensibiliser sur les meurs cavernicoles de ces petites bête. Sortie vers 15h00, tous le monde était enchanté par la visite. La proximité du tarn nous a permit de laver les combinaisons. 17h30 arrivée à Mende. | Gabriel Lemaitre, Pierre Lemaitre, Lisons Martin, Catherine Perret, Matis, Béatrice Nore, Floran Nore. |
| 17 | 19/03/2006 | Grotte de la Piboulède | 4h | Sur les septs prévus nous nous sommes retrouvés à quatre par ce grisatre dimanche après-midi de fin d'hiver devant la grotte de la Piboulède. La progression dans la première partie de la grotte est assez difficile mais pas autant que l'on si attendait après la lecture de la desription du SCL. Pierre D. de Florac, un grand et rude gaillard nous a distancé dans cette partie étroite où la progression à l'égyptienne est obligatoire ! Une fois passée cette difficulté, nous avons progressé jusqu'au siphon amont. Thierry et Pierre D. se sont engagés dans l'estipocat (l'étripe chat) pendant que Lounis et Pierre L. commençaient à prendre quelques photos. | Thierry Bertrand, Pierre De Vlieger, Lounis Lemaitre et Pierre Lemaitre |
| 18 | 25/03/2006 | La can de l'hopitalet | journée | But : désobstruction sur la Can de l’Hospitalet La découverte de l’entrée a été faite par Catherine et Guillaume il y a quelques semaines. Nous partons de Florac pour arriver à 12 heures à l’entrée de la cavité, qui, on peut le constater dès le début, nécessite un peu d’élargissement. Avant toute chose, un peu de défrichage s’avère nécessaire. Roger trouve en coupant un buis unevipère qui gardait l’entrée ; ce n’est qu’une petite vipère, on ne se désespère pas de trouver les parents la prochaine fois ; pour le bonheur de Roger... Ensuite, place à la désob : l’entrée pénétrable mais assez basse consiste en un remplissage d’argile et de blocs plus ou moins volumineux (à noter que l’entrée présente une construction en pierre, conçue de la main de l’homme). Ensuite une sorte de ressaut permet d’arriver sur un sol argileux, assez humide. La cavité est une faille ou une diaclase qui semble colmatée par un remplissage (argile, blocs rocheux, os de moutons…) ; jusqu’à quelle profondeur ? La désobstruction commence par les blocs instables de l’entrée, dans la bonne humeur comme le prouve Roger. Ensuite, Gilles passe devant pour faire remonter les seaux remplis d’argile ; l’enchaînement se fait en enfilade jusqu’à la sortie. Après la traditionnelle pause restauration, le travail reprend. Guillaume fait passer le test de recrutement des futurs spéléos. Le test est concluant, la relève est assurée. Reprise de la désobstruction après la pause, encore de l’argile, toujours de l’argile ; le plancher s’effondre au fur et à mesure de la progression ; résultat des courses, pas mal de volume enlevé, mais on n’est pas descendu d’un mètre ; néanmoins l’entrée est sécurisée. Nous sommes rejoints peu avant de partir par Catherine, Olivier B et les jeunes qui étaient partis faire une cavité à proximité. Une prochaine date doit être fixée pour continuer le travail déjà réalisé ; promis, la prochaine fois, on apporte des cordes… | Guillaume Coechon, Stéphane, Roger, Gilles Dufour, Olivier Collon |